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Jean-Claude Villain

Parole, exil

Editions L'Harmattan, Paris, 1990, calligraphie de Hawad.

La traduction en arabe par Moncef Ghachem est à paraître.

Commencé en des terres humides et froides puis poursuivi dans l'espace marin et solaire de la Méditerranée, l'itinéraire topo-sensible de Jean-Claude Villain, constamment jalonné de poèmes, trouve peut-être avec ces deux suites poétiques sur le désert son aboutissement.

Immergé en des lieux et des temps indéfinis, l'auteur développe ici de longs chants, ouverts par leur profondeur d'évocation et leur simplicité de parole à une méditation sur la vie, l'amour, la mort, l'errance, dont le désert est lieu et métaphore et dont l'ampleur est celle d'une sagesse.

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