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Jean-Claude Villain

Etudes et écrits sur l'oeuvre

Témoignages sur l’oeuvre 

Témoignages sur l’œuvre

"...Je suis sensible à tout ce que vous écrivez - dans les livres ou dans les revues. Notre époque est fertile et vous participez au premier rang - même si l'époque est aveugle."

Robert Sabatier

(lettre)

En recherche du déclic de l'ouverture poétique contenant le Tout, Jean-Claude Villain voyage partout: en Asie, en Afrique du Nord, dans le monde hellénique. Véritable poète-Ulysse, il est nourri tout à la fois d'ascèse et d'une passion vraie, ce qui le conduit à la mystique de l'âme- poésie et à ses secrets, sources de vie et de bonheur. Cette oeuvre représente finalement une authentique topographie vers l'infini de l'esprit.

Klitos Ioannides

extrait du dossier spécial Jean-Claude Villain, Encres Vives, 2003.

Ce qui frappe, à mon sens chez Villain, c'est cette ouverture à l'extérieur qui n'entame pas l'intériorité, l'approche sensible qui confond, au sein d'une même parole, la jouissance du voyageur et la sagesse du philosophe.

Jean-Max Tixier

extrait du dossier spécial Jean-Claude Villain Encres Vives, 2003.

La poésie de Jean-Claude Villain suit un itinéraire topo-sensible qui le conduit des terres froides au rivage méditerranéen, dans le Var, dans cette olivaie où il vit au contact des ordres premiers, avec la mer Méditerranée qui se laisse pressentir derrière la colline chargée de pins et d'oliviers. Il effectue dès lors un voyage tant mental que géographique, qui comparable à celui que Icare vécut dans son ascension à la connaissance, le conduit inlassablement des ténèbres à la lumière, vers ce soleil tantôt malfaisant entraînant la brûlure et la mort paradoxale du héros, expression du tragique méditerranéen, tantôt bienfaisant par la lucidité qu' il dispense.

Chantal Danjou

extrait de son essai : Jean-Claude Villain, damier de silence et parole, L'Harmattan, 2001.

« Jean-Claude Villain est un passeur de soleil entre deux rives. »

Jean-Claude Xuereb, in "Passage du témoin" .

« Quand on lit la poésie de Jean-Claude Villain, on sent qu’il marche dans ses mots »

Moncef Ouhaibi

« Tu fais partie de ces quelques rares êtres qui me font penser, irrésistiblement, à cette phrase qu’écrivit Cocteau à Morand (peut-être dans la dernière lettre de sa vie) : « Il est ridicule de ne pas vivre tous ensemble ; « tous », c’est-à-dire peu de monde »

Daniel Schmitt (Lettre du 6 mai 2007)

« …Mes ennuis de santé, un peu paralysants, ne m’empêchent pas (au contraire) de penser très souvent à vous et à votre très belle œuvre. Aussi, permettez-moi de vous redire simplement toute mon admiration et mon affectueuse amitié».

Jean-Claude Renard (Lettre du 16 avril 2000)

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